Une belle journée avec sa maman [ PV Pétale de Coquelicot ]

Bien dans la fourrure chaude de ma maman, je me réveilla sous les rayons du soleil annonçant le début d'une belle journée. Je réveilla ma maman d'un petit coup de patte pour qu'elle l'allaite. Elle se réveilla, et me laissa donc allaiter pendant qu'elle faisait ma toilette. Une fois rassasiée, j'observais la clairière du camp. Déjà beaucoup de monde se mouvait. Je vis Étoile de Lumière donner les noms de ce qui partais pour la patrouille du matin. Bien que timide, je sortie de la pouponnière pour attraper un papillon qui voletait vers le centre de la clairière. Je sentis une grande épine rentrer dans mes coussinets. Elle me faisait tellement mal que je n'arrivais pas à marcher. Je me mis à pleurer...

(Oublie pas que c'est moi, la lieutenante du clan, please -_-)

Petite Fleur sortie pour attraper un papillon lorsque je l'entendit pleurer. J’accourus et je vue une épine qui était planté dans ses coussinets ! J'attrapa ma fille par la peau du coup et l'emmena voir étoile de lumière. Je demanda à notre chef :
"Étoile de lumière, peut-tu m'aider à enlever cette épine du coussinet de petite Fleur ?
Puis je regarda la petite chatonne qui sanglotais et sa petite patte souffrante avec pitié. Je pensa que j'avais perdu mon compagnon et que ma fille, je ne la perdrais pas, et que j'en prendrais soin, comme la prunelle de mes yeux, car je ne veut pas la perdre.

( je sais mais vu que tu étais dans la pouponnière tu pouvais pas être à deux endroits à la fois )

J'arrêta de sangloter quand Étoile de Lumière me l'enleva. Je courus vers ma maman et lui fit un gros calin. Je retourna à la pouponnière, seule. Je commençait à m'ennuyer, n'ayant aucun chaton avec moi. Je vit le soleil annoncer le déjeuné et tira doucement la queue de ma maman qui parlait avec la meneuse pour qu'elle me donne du lait car j'étais une petite goinfre. Elle salua le chef et retourna dans la pouponnière avec moi. Elle m'allaita et reparti voir le chef. Je monta sur son dos et m'allongea au soleil pendant qu'elle parlait avec Étoile de Lumière.

Je m'arrêta de bavarder avec notre meneuse et je m'adressa à ma fille que bronzais au soleil, au bout de l'ennuie :
"Petite Fleur, tu as 3 lunes, je pense que tu est assez grande pour aller jouer avec les autres mais attention; tu ne dois pas quitter le camp et ne joue pas violemment avec les autres. Allez, file."
Je lui fis un sourire suivi d'une léchouille sur le front et je me remit à bavarder avec Étoile de Lumière.

Toute joyeuse, je courus entre les pattes des guerriers et guerrières sans toute fois les gênés. Étant la seule Chatonne du clan, tout le monde m'observait avec un léger regard emplis de malice. Je courus dans la tanière du guérisseur, cependant vide ce jour là. Je vit la tanière des anciens et m'accapara dedans pour essayer les douces litières. Je reparti vers la tanière des guerriers pour voir qui était dedans. Personne n'y demeurait. Je sortis de la tanière et me retrouva avec une toile d'araignée sur la figure, n'y voyant plus rien. Je courus pour me l'enlever et traversa la barrière de feuilles, ne sachant où aller. Une fois enlevée, je fit figée d'horreur. J'étais au beau milieu de la forêt, seule, loin du camp. Je sentis un buisson bouger. Je me retourna d'un coup, et pâlit, sous le choc. Un renard s'y trouvait cacher et m'avait repérer. Je cria à l'aide, dans l'espoir que les secours arrivent, reculant à petit pas devant cette bête rousse me montrant les crocs, où luisait mon reflet...

Une fois le dialogue terminée, je me rendit à la pouponnière croyant y trouver ma fille. Qui l’eut crut ! Elle n'y est pas; j'aurais dû m'en douter. Elle ne m'aurait jamais attendue sagement ici ! Je fouilla dans tout les recoins du camp, impossible de la trouver. Pleine d'inquiétude, je monta sur le promontoire et prévint le clan de sa disparition. Je nomma deux guerriers pour la chercher dans le camp et trois guerriers dont moi sont parti la chercher dans notre territoire. Je criais à tue-tête comme une sadique dans toute la lande :
"PETITE FLEUR ! PETITE FLEUR? OU EST TU ?"
Tellement je hurlais que je pleurais en même tant. Personne n'aurais jamais cru me voir dans cet état ! Mais Petite Fleur était tout ce qui me restais de Cœur de Sureau, mon compagnon décédé, père de mon unique fille qui est Petite Fleur.

Devant le renard bavant de joie, je tremblais comme une feuille. Je quais tellement j'avais peur. Lorsque le renard détourna les yeux pour voir le buisson se trouvant à côté de lui bouger, j'en profita pour m'enfuir. Je courus aussi vite que je ne l'aurai jamais fait. En courant, je me coinça la patte dans un terrier de lapin et me rendit compte que j'avais franchit la forêt et que je me trouvait dans la lande. Le renard se rapprochait et je sentit son haleine fétide me poursuivre. Je repassa dans la forêt, et passa à travers les buissons de ronces pour le ralentir. Avec ma petite taille, je passait sans égratignures. Soudain, j'entendis au loin ma mère crier " PETITE FLEUR ? PETITE FLEUR ? OU EST-TU ? " et je me dirigea vers sa voix. Mais le renard me rattrapait de plus en plus alors que j'étais proche du but. Il me sauta dessus et je crus perdre connaissance...

Mon cœur failli transpercer ma poitrine. Je sentais l'odeur de ma fille ! Mais malheureusement, celle d'un renard ! Je fis part aux deux autres guerriers ma découverte. Pleine de peur, je suivis l'odeur et me retrouva face à un renard et ma fille qui courait. Mais le renard la rattrapait et il lui infligea un coup et Petite Fleur s’évanouit et perdit connaissance. Mais plusieurs pensées surgirent en moi et je revis mon enfance dure et cruelle, car j’avais perdu tout ce que j’avais et j'avais dû me débrouiller seule avec le peu d'amis que j’eus connus, qui disparaissait ou mourrais sous mes yeux. Un petit cri strident me sorti de la gorge, c'était plus fort que moi :
" Hermès ! Je croyais que tu... Le renard fit volte face et dit :
-Coquelicot ?! Mais que fait tu là ?"
Hermès, était un de mes chers amis (car la plupart n'était pas des chats) que je croyais mort; disparus sans me prévenir. Il m'appelle par mon nom de solitaire : Coquelicot, car c'est le seul qu'il a connu. Je n'aurais jamais survécu sans Hermès, il m'a aider à me soigner seule et à trouver des plantes délicieuses à manger lorsque le gibier fut rare. un jour, il n'était pas revenu me voir, dès lors, je l'avait cru mort. Quel bonheur de le revoir ! Je fondis me blottir contre ses longs poils soyeux. Je lui expliqua que le chaton était ma fille et que j’avais besoin de lui rapidement pour la sauver car je n'aurait pas le temps de la ramener au clan pour la soigner. D'abord, il pleuras de lui avoir fait du mal car avec le temps, le vieux renard avait du fuir la forêt à cause des bipèdes et avait dû manger du gibier, ce qu'il n'aurait jamais fait auparavant, il ne faisait pas mal à une mouche ! Mais il alla rapidement chercher des plantes et il les donna à Petite Fleur. Nous étions tout les quatre allongés autour d'elle, je résumais ma vie à Hermès depuis qu'il avait disparu lorsque Petite Fleur entrouvrit les yeux.

Tout était néan. Le noir était à son comble dans mon rêve. Je savais que je rêvait plus ou moins. Je courus sans le savoir. Le renard me courait toujours après. Puis soudain, il se transforma en monstre et je me mis à crier. Puis j'ouvris les yeux, reconnaissant des guerriers du clan et le renard qui m'avait poursuivit penchés au-dessus de moi. Je pris peur et me prépara à courir. Quand ma mère mit sa queue sur mon épaule pour me rassurer. Elle m'expliqua qui était le renard et que je n'avais pas à avoir peur. Elle me raconta tout ce qu'il avait fait pour elle. Je me rapprocha du renard ; qui se nomme Hermès ; d'un mouvement craintif et le remercia de m'avoir sauver la vie. Cela me fit bizarre de me faire guérir par un renard et non pas par une guérisseuse. Fatiguée, je m'allongea auprès de ma mère et m'endormis, à bout de forces.

Petite Fleur s'endormit, elle fait bien. elle doit se reposer car les blessures fatiguent. Alors, nous recommençâmes à discuter. Au bout d'un certain temps, Je regardas le soleil : il doit être environ 5heures et demi de l'après-midi. Je me leva, remercia Hermès et souhaite que l'on se revois au plus vite. J’attrapais ma fille de la peau du coup, salua une dernière fois Hermès, et parti avec les deux autres guerriers. Le temps pressait ! Les chatons doivent dormir vers environ 8heures de l'après-midi ! Si je veut avoir le temps de donner à manger à Petite Fleur et rentrer au camp, il faut courir ! Une fois arrivée, j’allai raconter à Étoile de lumière nos aventures et je partit allaiter Petite Fleur. Pendant qu’elle mangeait, je lui dit d'un ton haussé et mécontent :
"Petite Fleur, qu'est-ce qui t'est passé par la tête !? Je t'avait pourtant dit de ne pas sortir du camp ! Si sa n'avait pas été Hermès le renard, tu serais morte !

Je baissa les yeux. D'abord, j'eu peur de me faire gronder en lui racontant. J'eu peur qu'elle se moque de moi pour mon imprudence. Puis je prie mon courage à deux mains, et lui raconta tout : la toile d'araignée, la rencontre avec Hermès que je croyais sanguinaire, la course poursuite... Une fois fini, je fus essouflée. Je ressentis ma douleur à l'épaule, suite à une griffure entre les ronces, malgrès ma petite taille. J'eu mal partout, comme si j'étais prise de Vaudou. Je le montra à ma mère et attendit sa réaction...

Je n'aurais jamais imaginé ce qu'l lui ai arriver... Elle était très courageuse et s'est comportée en guerrière aguerrie ! Pleine de fierté, je lui lécha le front et lui dit :
"Bravo, je trouve que tu as été très courageuse, je suis fière de toi. Mais je ne rata pas pour autant de la taquiner... Tu est une petite puce chanceuse, Petite Fleur ! Puis je lui lécha la joue; elle détestais sa. puis je lui dit : Allez, dodo !

(fin du rp ?)

( je pense que oui ! )

[image]http://www.gif-maniac.com/gifs/54/54157.gif[/image]

Merci à tous de nous avoir écouter ( ou plutôt lu xD ) et bonne journée à vous !