nouvelle journée dans le clan de la lumiere (ftPétale de Coquelicot)

le jour se lève,
et je m'étire avant de sortir dans le camps ,
le jour n'est même pas complètement levé mais on entends déjà les bruits familiers provenant de la foret
j'inspire une bouffé d'air frais voir glaciale et m'avance au centre de la clairière
ou quelqu'un arrive justement
"tient salut pétale de coquelicot bien dormit ?"

Petite Fleur dormait encore lorsque je me réveilla. Je sortis de la pouponnière et m'étira, la patrouille de l'aube était partie, je l'avait organisé la veille au soir, comme toujours. lorsque je croisas Poitrail d’Épine, un très bon guerrier que j’apprécie fortement.
"Tient, salut pétale de coquelicot bien dormit ?
- Salut Poitrail d’Épine ! Oui, j'ai bien dormi c'est juste que Petite Fleur c'est réveillée en pleine nuit car elle à fait un cauchemar. Et toi ? Sinon, tu voudrais bien aller à la patrouille du soir ? lui répondis-je joyeusement

- Salut Poitrail d’Épine ! Oui, j'ai bien dormi c'est juste que Petite Fleur c'est réveillée en pleine nuit car elle à fait un cauchemar. Et toi ? Sinon, tu voudrais bien aller à la patrouille du soir ?

"LA patrouille de nuit ?" répondis je "pas de problème"
de tout façon, je n'avais rien de prévu, et la journée s'annonçait ennuyeuse
alors tout occupation était la bien venue,
je m'apprêtais a repartir, puis finalement je demanda
"tiens au faite tu as quelque chose de prévu ?je comptais sortir pour tuer le temps tu veux venir ? on aura qu'a chasser"

"Tuer le temps ?! C'est quoi cette expression ?! pouffais-je Oui, j'accepte de t'accompagner, j'adore chasser ! nous nous éloignèrent donc du camp. Soudain, une odeur alléchante me chatouilla la truffe... Un lapin ! Aussi près du camp, on en trouvais très peu ! Je lança un regard à Poitrail d’Épine expliquant ma découverte. Je me tapît dans l'herbe, l'arrière train légèrement en l'air, prête à bondir. Tout d'un coup, au moment où personne ne s'y attendait, je fondis sur le lapin de couleur brunâtre; un lièvre. La bestiole est presque plus haute que moi ! D'un signe de la queue je demande de l'aide à Poitrail d’Épine qui chassais une souris (ok ?).

Ont filent alors vers les bois ,dans l'espoir de trouver quelques proies
j'aperçois alors une souris, j'avance discrètement, puis saute dessus et l'achève d'un seul coup
je me retourne et voit pétale de coquelicot, en position du chasseur, silencieuse ,qui me fait un signe pour que je vienne l'aider ,
je m'accroupis a ses cotés ,et je vois alors un lièvre d'une taille impressionnante
avec un regard entendu avec ma camarade, je me déplace doucement vers l'opposé de la zone de chasse ,derrière le lapin,
ainsi on lui coupe toute possibilité de fuite, je m'avance jusqu'à lui et le poursuis le redirigeant droit vers Pétale de Coquelicot
qui n'a plus qu'a lui porter le coup fatale
"belle prise" la félicitais-je "avec un lapin comme ça on peut en nourrir plus d'un"
c'était d'ailleurs étonnant qu'une proie aussi grosse se retrouve près du camps, il était possible qu'elle fuyait quelque chose...

Une fois le lièvre attrapé, ont eut beaucoup de mal à l'enterré. Lorsqu'une idée me traversa l'esprit : Et si le lièvre fuyait quelque chose ? Je regarda Poitrail d’Épine dans les yeux; il pensait à la même chose que moi. Je lui dit alors :
"On va voir ce qu'il fuit ?"
Puis je me mit à renifler aux alentours, jusqu'à que je sente une odeur qui me fit frémir. Mon oreille se dressa sur le coté et j’eus ma plus grande peur de ma vie en sentant cette odeur...

(Heuuu du coup je mets quoi comme ennemi xD)

(un chien) (je suis le DC de coquelicot)

Je peux me joindre à vous =° ? Chuis en manque de RPs en ce moment x) .

(oui pourquoi pas)
"On va voir ce qu'il fuit ?"
et on se met alors à chercher des traces ,
quand, soudain, Pétale de coquelicot qui flairait les alentours sentit quelque chose ,
et cette chose n'avais rien de rassurant, je le voyais à son expression je la rejoins et...
horreur un chien ! et l'odeur est malheureusement très fraiche ,
je gronde et avance me frayant un passage dans les sous bois des traces de griffures apparaissent un peut partout sur les arbres, une proie ou deux déchiqueter par ci par la,
cela veut dire que nous n'étions pas loin et la...
un roquet surgit de la pénombre, ce n'est pas le plus gros chien que j'ai vu, mais il est tout deux même bien plus gros que nous, le vrai danger c'est qu'il a l'air affamé,
je lui fait face le regard froid prêt a attaquer.

Contrairement à Poitrail d’Épine, j’étais sur le point de fuir; et non de risquer ma vie ! Je décida donc seule, sans prévenir mon camarade, que je conduirais ou lui aussi si il se joignais à moi, dans la falaise. Je me mis donc à courir tête baissée, vers la falaise. Un écho de ma propre voix se répétais dans ma tête : "Allez !!!! Poitrail d’Épine, comprend et suis moi !!"

le chien tente de mordre, mais je me décale sur sa droite et le griffe rageusement le sang coule
puis l'animal hors de lui à cause de la douleur, se rue en avant
je n'est donc pas d'autre choix que tenter de fuir, en me retournant je vois que pétale de coquelicot cours mais pas vers le chien vers la foret,
perplexe j'hésite un instant mais un claquement de mâchoire près de mon oreille me fait vite changer d'avis, je cours le plus vite possible et rattrape pratiquement ma camarade
je ne comprend pas tout de suite, pourquoi elle va par la, mais soudain tout s'aligne dans mon esprit
c'est le chemin de la falaise bien sur ! c'est une idée brillante mais dangereuse entrainer le chien la bas ce ne sera pas facile ,
je force sur ms pattes m'élançant et arrive au niveau de Pétale de coquelicot, c'est difficile de parler dans une course poursuite avec un chien mais il le faut bien ,
"Tu...comptes faire...comment ?"
je jette un regard en arrière la bête se rapproche je réprime l'envi d'accélérer la cadence et reste en attendant qu'elle me réponde

"Écoute, lui répondis-je, je connais un passage dans la pierre, sur le sol. Nous courrons vers le vide et pof ! Nous tomberons dans le trou, et lui, il iras dans le vide ! T'en pense quoi, camarade ? lui dis-je avec un sourire d'encouragement. La fatigue commençait à ma toucher, et plus le chien se rapprochais. Comment faire pour se reposer ? Mes pattes s'effondrèrent alors sous mon poids. Dans 15 secondes, le chien me tue. Par chance, je tombe sur un grand bâton. Je le lança plus loin Et il attira l'intention du chien quelques secondes qui me sauvèrent la vie. Je me remise à courir, avec plus d’enthousiasthme qu'au départ.

"Écoute, lui répondis-je, je connais un passage dans la pierre, sur le sol. Nous courrons vers le vide et pof ! Nous tomberons dans le trou, et lui, il iras dans le vide ! T'en pense quoi, camarade ?

je lui rend son sourire, c'est une très bonne idée
mais malgré sa détermination, je voyais bien qu'elle fatiguait
et soudain ses pattes cédèrent, tout se passa en une fraction de second, si vite que je n'eu pas le temps de faire quoi que ce soit
elle tomba, le chien gagna du terrain si bien qu'il aurait put la tuer, si elle n'avait pas eu l'intelligence de jeter un bâton pour le distraire,
ces molosses sont vraiment stupides, elle se reprit et retrouva l'allure,
ont courait toujours plus, il ne fallait pas distancer le chien, mais pas se laisser rattraper non plus, la tache n'était pas mince affaire
après quelques secondes, minutes, ou peut être même des heures ,qui sait je n'avais plus aucune notion du temps,
je reconnaissait la zone de la falaise, en jetant un regard derrière je vois que l'on distance le chien qui fatigue, je fait signe de ralentir pour le laisser se rapprocher a une distance convenable ,et une fois presque arriver a nous je lance
"on accélère" et le plus vite possible ont s'élance vers l'endroit piège dont elle a le secret,
espérons que ça marche...

Puis nous tombâmes dans le trou, mais le chien aussi. Or les chats retombent toujours sur leurs pattes... Mais pas les chiens. Le chien tomba sur le coté et on entendit ded os craquer. Poitrail d'Epine était près à repartir lorsque je lui fit signe de patienter un instant. Je m'approcha du molosse étendu par terre. Je l'inspecta et déclara : il est mort.

Un vacarme assourdissant une lourde chute puis plus rien,
un silence pesant ,menaçant ,
sous l'effet de l'adrénaline je suis déjà prêt a partir, mais tout semble calme
Pétale de Coquelicot s'approche doucement et après une rapide inspection, elle lance
" il est mort."
je ressens alors une bouffée de soulagement ainsi qu'un peut de fierté
"Bravo ton idée était génial"
le cabot n'avait rien vue venir
et on était sain et sauf, la seul question qui restait sans réponses, était que faisait ce chien aussi près du camps,
c'était inquiétant, si nous étions pas tomber dessus on se serait peut-être attaquer en pleine nuit,
l'idée d'un chien en liberté dans un camps avec des chatons et autres, était assez glauque ...

D'un signe de queue, j’incitai Poitrail d’Épine à partir. On avança dans la trou puis nous sortîmes d'un terrier de renard abandonné. Sur la route du camps, je proposa à Poitrail d’épine de chasser encore un petit peu. alors que je poursuivais un écureuil, une idée me traversa l'esprit, je le dit à voix haute car j'avais peur pour mon clan :
"M-mais... et si d'autres chiens étaient avec lui ?! Et si... si ils venait dans le camp la nuit..."
Je m'assis car j'avais peur, très peur; j'angoissais.

On reprend le chemin du camps, puis en cours de route Pétale de Coquelicot propose de terminer notre chasse avant de rentrer, j'acquiesce puis après quelques minutes de chasses, Pétale de Coquelicot lâche la traque de sa proie et lance
"M-mais... et si d'autres chiens étaient avec lui ?! Et si... si ils venait dans le camp la nuit..."

Un léger frisson me parcours l'échine, je m'avance a elle pour tenter de la rassurer tan bien que mal

"Rien ne nous prouve que c'est le cas et puis ne t'inquiète pas on défendra le camps quoi qu'il arrive"
en vérité je 'arrivais pas a me convaincre moi même, je ne doute pas du courage du clan de la lumière
seulement vaincre un chien enragé relève de l'exploit, alors plusieurs...

Je me leva et dit :
"Oh et puis zut, roulons nous dans de la crotte de renard, cela brouilleras nos pistes, et quoi qu'il arrive, ils ne ne sauront pas suivre notre odeur."
Je saisi mes proies et fait signe de la queue à Poitrail d’Épine de me suivre. Je marche vite, d'un pas régulier, je fais style d'être forte et sans crainte, pour cacher ma peur, c'est aussi ça, être lieutenant.

Elle me fait signe, et nous repartons elle a repris une démarche assuré, elle n'a plus peur ,ou alors elle ne le montre pas et veux rester digne, je pencherais pour la seconde option, tandis que nous repartons plongé dans mes pensées je n'avait pas remarqué quelle s'éloignait, je la rattrape au pas de course
"Alors tu proposes quoi ? On peut rentrer au camps, on aura qu'à repartir avec la patrouille du soir ou alors si tu préfères on peut continue a chasser ou a chercher des traces de chiens"

"Non, rentrons. Puis, nous nous reposerons ce soir, je te rappelle qu'on a eu une sacrée aventure aujourd'hui ! Si tu veut être énergique et efficace demain, il faut se reposer. Nous irons juste faire un rapport à Étoile de Lumière, c'est tout."
Je marchais toujours vite, mais la fatigue commençait à m'avoir et j'avais hâte de retrouver Petite Fleur. Mais à ce moment là, je repensa à Cœur de Sureau. Il me manquait tant ! Et le pire, c'est si je meurs, je ne le retrouverais pas car il est parti dans la tribu de la chasse éternelle et moi j'irais au clan des étoiles. Néanmoins, cette partie de chasse avec Poitrail d’Épiné me rappela les balades que je faisait avec mon défunt compagnon. Mon camarade de clan me le le rappelait beaucoup. C'est pour tout ça que je me mis à marcher moins vite pour laisser le temps à Poitrail d’Épine pour qu'il me rattrape et je lui demanda :
"C'était qui tes parents ? Et, tu as des frères et sœurs ?"

"Non, rentrons. Puis, nous nous reposerons ce soir, je te rappelle qu'on a eu une sacrée aventure aujourd'hui ! Si tu veut être énergique et efficace demain, il faut se reposer. Nous irons juste faire un rapport à Étoile de Lumière, c'est tout."

j'acquiesce puis on reprend notre chemin,
plongé dans ses réflexion Pétale de Coquelicot ralentit, et une fois a mon niveau me demande :
"C'était qui tes parents ? Et, tu as des frères et sœurs ?"
j'hésite un instant
les histoires familiales et moi ça fait deux, puis après tout ce qui c'est passé aujourd'hui je juge qu'elle est digne de confiance ,
"Mes parents c'étaient de simple chat errant dans une ville de bipède ma mère était exemplaire mais fragile et mon père le savait c'était disons... quelqu'un de dangereux et obsessionnelle si je n'ai plus aucun reste de cette ancienne vie c'est a cause de lui"
je regarde le ciel qui s'assombrit essayent en vain de retrouver un nom,
ou quoi que ce soit a propos de mes frères et sœurs mais rien.
"quand a mes frères et sœur il n'en reste plus un, mais tout s'est embrouillé dans ma mémoire, je ne me souviens même plus de leur noms, juste un visage ou un cris qui me revient parfois"
je marque un temps, puis jugeant que je rendait l'ambiance un peut trop maussade je rajoute
"mais c'est peut être mieux ainsi j'ai put trouver le clan... et toi ? tu as de la famille ou autre choses ?"

"Eh bien... Je n'ai jamais connu mon père, je suis née seule et 4 lunes après ma naissance ma mère est morte d'une maladie grave. Donc je me suis débrouillée avec les moyens du bord. Ma mère était d'origine riveraine elle s'appelait Criny mais pour ses origines elle ma appelée Petit Coquelicot. J'ai eu des amis mais ils ont disparus ou sont morts sous mes yeux. A environ 20 lunes j'ai rejoins le clan et Coeur de Sureau est devenu mon compagnon. Après, tu connais la suite."
Des larmes me coulaient sur ma fourrure, j'avait tout perdu sauf ma fille ! Coeur de Sureau voulait@il que je mr reconstruise une vie ?

"Eh bien... Je n'ai jamais connu mon père, je suis née seule et 4 lunes après ma naissance ma mère est morte d'une maladie grave. Donc je me suis débrouillée avec les moyens du bord. Ma mère était d'origine riveraine elle s'appelait Criny mais pour ses origines elle ma appelée Petit Coquelicot. J'ai eu des amis mais ils ont disparus ou sont morts sous mes yeux. A environ 20 lunes j'ai rejoins le clan et Coeur de Sureau est devenu mon compagnon. Après, tu connais la suite."

J'écoute son histoire,
puis après le silence s'installe, quand soudain je me rendit compte qu'elle versait des larmes
je suis un peu perdu, je n'ai jamais été doué avec les sentiments rassuré les gens les consolés...
mais avec c'est avec certaines personnes du clan, dont Pétale de Coquelicot ,que j'arrive a comprendre les notions de confiances et autres
qui font de nous un clans, alors je m'approche et sèche tant bien que mal ses larmes,
"Tu... tu penses que ça va aller ?"
perdre quelqu'un n'ais pas une chose facile a surmonté
mais a moi comme a elle, cela nous est arrivées tellement de fois que, il n'y a pas d'autres choix que d'aller de l'avant

Je me réveilla soudain, ne sentant plus le souffle chaud de ma mère. Je regarda le ciel ; le ciel était levé bien haut, il était déjà midi. Je n'avais pas l'habitude de me servir dans la réserve de gibier toute seule mais mon ventre gargouillais, alors je tira une petite souris. Une fois rassasiée, je fit un petit tour du camp pour voir où était ma maman. Je ne la trouvi nul part et je commença à m'inquiéter. Comme mon odorat était très développé, je décida de la retrouver. Je passa donc par le petit espace derrière la pouponnière - que j'avais découvert pendant une de mes petites escapades - juste assez petit pour me faire passer. Le museau au sol, je chercha une trace de ma mère. Je la trouvis enfin et suivis la piste. Je frissona en repensant à Hermès, le renard qui m'avait pourchassé, et me mis donc à chercher dans les fourrées pour être plus prudente. J'entendis alors de légers sanglots et sortis alors des fourrées, sentant l'odeur de ma mère à plein museau. Poitrail d'Épines séchait ses larmes. J'accourus me blottir contre Pétale de Coquelicot pour la réconforter, et c'est seulement à ce moment là qu'elle m'aperçu.

Ma fille venait de ce fourrer dans mes pattes ! Ma tête cogitais, je ne savais que faire. Puis je repensa que mon cher Coeur de Sureau, mon défunt compagnon, était le père de ma fille. Quelle était sa volonté ? Voulait-il que j'offre une nouvelle famille à ma fille ? Donc dois-je un peu l'oublier et chercher un nouveau compagnon ? Et par deçu le marché, j'était lieutenante ! Je sécha mes larmes et lécha le front de ma fille.
"Ma puce... Papa te manque ? Est-ce que... tu voudrais avoir un parent en plus autre que moi ?" Mon ton était doux mais lourd, tout le reste de ma vie dépendait de cela : ma fille doit être au mieux.

Je fut surprise de ce qu'elle me disais. Papa me manquait plus que tout au monde... Mais j'aimerais avoir quelqu'un d'autre avec qui jouer, une personne qui s'occupe de moi et que je me sente protégée, même si j'ai déjà ma mère pour tout ça. Je me doutais que ma mère voulait avoir une relation amoureuse avec quelqu'un maintenant que papa est mort. Je répondit :
" - Tu veux dire, avoir un deuxième papa ? Je voudrais bien en avoir un, ça ne me dérangerai pas. Ça me fait bizarre depuis de ne pas avoir le regard chaleureux d'un père se posait sur moi. Pourquoi ? Tu aime quelqu'un ?
Je vit son regard vaguer vers Poitrail d'Épines...
Ah, j'ai compris, continuais-je sur mon ton bas. Il est plutôt gentil, c'est vrai. Tu es sur qu'il t'aime ? "

"Non. Mais tu sais, je parlais pas forcément de lui en disant ça. Répondis-je d'un chuchotement. Car je te rappelle que j'aime toujours ton père, malgré qu'il soit de d'autres cieux, mais... Si tu veut un "2eme papa" comme tu le dit, c'est d'accords mais n'oublie jamais Coeur de Sureau, d'accords ?"
Moi même je ne réalisait pas mes paroles ! Comment faire pour mettre un peu de coté mon défunt compagnon ? Et de toute façon, à partir de maintenant, je crois mon coeur et non mon cerveau qui me dit de garder Coeur de Sureau. C'est décidé, je veut que ma fille sois heureuse et ne souffre pas trop de la mort de son pére. Donc à contrecoeur, je décide de tourner la page et d'écouter mon coeur et Petite Fleur.

J'essaye de consoler pétale de coquelicot, quand petite fleur sort soudain de nul part
c'est une bonne nouvelle, sa fille saura surement mieux la réconforter que quiconque,
je recule et les laisses un temps, s'échanger qu'elle que paroles, je ne veux surtout pas les gêner
quand pétale de coquelicot se retourne, je vois qu'il n'y a plus de larmes
même si elle n'a pas l'air de nager en plein bonheur non plus ,c'est déjà ça
"ça va mieux ? Prêt a rentrer ?" demandai je
le soleil déclinait déjà

"Oui, allons y, je tiens à ce que Petite Fleur se couche à l'heure."miaulais-je d'un ton rassuré.
J'avais hâte de rentrer au camp pour me reposer et tout raconter à Étoile de Lumière qui géreras cette histoire de chien. Et puis cette histoire de famille me dépasse. Si seulement Cœur de Sureau n'était pas mort ! Foutus bipèdes !! Je marchais à coté de ma fille, et Poitrail d’Épine était derrière, trainant les pattes. Je m'arrêta et fit signe à Petite Fleur de faire de même.
"Bah alors ?! Marche plus vite, la nuit tombe !"
Mon visage avait retrouvé son épanouissement et son sourire habituel. Cette nuit allais me faire réfléchir et demain, ma tête auras fait un bon lavage et j'y verrais bien plus clair ! Vivement demain.

On reprend le chemin, perdu dans mes pensé je laisse Pétale de Coquelicot prendre les devants ,quand elle me lance
"Bah alors ?! Marche plus vite, la nuit tombe !"
Sortant de ma torpeur je repart au trot
"J'arrive"
on arrive vite au camps,
le soleil est couché timing parfait, j'attend Pétale de Coquelicot dans la clairière le temps de faire notre rapport
la journée a été éprouvante avec ce chien, mais même si on a faillit y passer
c'était assez excitant, un peut d'adrénaline, c'est ce qu'il me fallait
sans ça la vie de guerrier serait une longue routine,
peut être que d'autres défis nous attendes demain...

Je donnais à manger à Petite Fleur. Elle s’endormit très vite, par chance. Il me tardais de me coucher, cette journée m'avais épuisée ! Je lécha le front de Petite Fleur et sortie de la pouponnière. Je gambadas vers Poitrail d’Épines et nous nous dirigeâmes vers la tanière d’Étoile de Lumière.
Quelques minutes plus tard, nous ressortîmes.
Je m'étiras et pris un mulot sur la pile de gibier. Nous étions seuls sur la clairière, tout le monde dormais déjà. Je m'installa devant la pouponnière, en regardant la tanière des guerriers. J'avais trop envie d'y retourner ! Je cessas de manger et cria à Poitrail d’Épines en faisant attention à pas réveillé le clan :
"Tu n'a pas faim ?"

Après notre rapport,on retourne dans la clairière silencieuse et Pétale de Coquelicot, qui mangeait un mulot ,lança
"Tu n'a pas faim ?"
"Si les courses poursuite ça creuse" répondit je
je choisis une souris ,et la finit en quelques bouchées
puis je me poste au centre de la clairière regardant les étoiles
"Tu peux allez dormir si tu veux je vais monter la garde pour cette nuit"
de toute manière je n'arriverais pas a dormir, j'avais le sang encore bouillant après les aventures d'aujourd'hui

"Monter la garde ? Tu as toujours peur des chiens on dirait... miaulais-je en ricanant Mais non, c'est pas grave et tu fait bien, après tout. Si tu veut tu peut partir en patrouille demain à l'aube avec Griffe d'Argent et Écho de la Lumière, si tu te sent encore aventureux." Puis je m’éclipsa dans la pouponnière, l'épuisement ne manquait pas dans mon corps. Pourtant, l'envie d'aventure me torturait et ne me fit plus sentir ma fatigue, pourtant toujours présente. Je n'arrivais pas à dormir ! Je me leva et fila vers Poitrail d’Épines.
"Je n'arrive pas à dormir, dis-je d'un ton désespéré en m'asseyant à coté du guerrier tigré, l'envie d'aventure me mange ma raison. De plus, personne n'est allé à la patrouille de minuit. Tu veut venir avec moi ?"

"Monter la garde ? Tu as toujours peur des chiens on dirait..."
Je souris a mon tour, j'avais plus peur pour le camp que pour moi
Pétale de Coquelicot retourne a la pouponnière et le calme s'installe, je trépigne sur place.
Lorsque ma camarade refait surface.
"Je n'arrive pas à dormir l'envie d'aventure me mange ma raison. De plus, personne n'est allé à la patrouille de minuit. Tu veut venir avec moi ?"

J'agite les oreilles à cette annonce impatient.
"Bien sur ! Répondais je. allons y c'est trop calme ici"

"Chouette ! Alors allons y !"
Et on repartis ! On était restés toute la journée dans le forêt, et, la nuit tombée, nous revoilà repartis ! Dites moi que je rêve ! Demain, je n'aurais même pas l'énergie pour nourrir ma fille... Mais sûrement que j'aurais la tête reposée, elle... Enfin on verras ce qui ce passe cette nuit.
"Regarde !!!! Des solitaires sont passés par ici... Ils n'ont pas le droit ! Si je les trouves..."
Je ne réussi pas à finir ma phrase. j'étais impuissante contre les solitaires. J'ai en quelques sortes été de leur famille... Moi aussi, j'ai été solitaire. Mais me voilà maintenant lieutenante du clan de la lumière et mère du future guerrière hors-pair !

On part courant a travers les bois, il n'y a que comme ça que je me sens plus vivant.
quand soudain ,nous nous arrêtons devant des odeurs et des traces récentes, de chats inconnus.
Pétale de Coquelicots lance :
"Regarde !!!! Des solitaires sont passés par ici... Ils n'ont pas le droit ! Si je les trouves..."
Mais je vois bien son air faussement en colère, elle ne leur en veut pas vraiment la plus part des chats du clan de la lumière, sont des solitaires ou des errants a la base, j'en ai fait les frais moi même
mais maintenant ,on a le devoir de punir tout intrusion faisant injure au code du guerrier, quelle que soit notre passé je lui jette un regard compatissant et répond :
"Allons les trouver ! Quelle qu'ils soient...
Avec un peut de chance ils auront peur de nous"
Je n'y croyais pas vraiment moi même, mais qu'ils soient un ou dix je les repousserais

Je me dit : Poitrail d’Épine a raison, après tout, j'ai une nouvelle vie désormais. De toute façon, mes temps de solitaire ne me plaisait guère.
"Je ne pense pas forcément qu'ils auront peur de nous. Mais si on va jusqu'au combat, nous gagnerons, c'est obligé."
Je partis d'un coté, écoutant ce que me disait ma truffe. Je fit signe à Poitrail d’Épine de me suivre lorsque je dressa la queue. Ils étaient là, à deux longueurs de queues ! Je miaula d'un ton menaçant à l'attention des chats errants :
"Sortez de notre territoire, sinon... Gare à vous ! feulais-je"

Je suis discrètement ma camarade ,quand soudain elle s'arrête,
devant nous un groupe de chat discute, ils semblent ne pas se soucier d'être sur le territoire de quelqu'un d'autre, il va falloir leur montrer.
Pétale de Coquelicots s'avance
"Sortez de notre territoire, sinon... Gare à vous !"
Certains ont un mouvement de recul, mais les plus grands grognent ,comme une mise en garde.
Je viens me planter face au premier intrus,
Je suis très calme mais avec un regard assassin , le silence s'installe et au bout d'un long moment très tendu, tout éclate.
le premier chat attaque je lui donne un coup de griffe puissant pour le faire reculer ,Pétale de Coquelicots a l'air de bien s'en sortir pour l'instant je vais m'occuper de mon adversaire.
On roule au sol jouant des crocs quand soudain je me retrouve en dessous, il mort ma patte avant férocement, je griffe avec mes pattes arrière et le projette
c'est une mêlée très confuse le combat s'éternise on change d'adversaire a chaque fois, et nous nous fatiguons j'ai peur qu'on ne puisse les vaincres puis je remarque le premier chat que j'avais attaquer , il faut en finir je le sais,
Alors on se jette l'un sur l'autre il s'accroche a moi griffant mes épaules, mais ignorant la douleur ,je me cabre et atteint son cou, d'un seul coup de croc rapide ,précis, je lui tranche la gorge...
La lumière dans ses yeux s'éteint peu a peu...

Je vis assez rapidement que Poitrail d’Épines se débrouillait bien. Il avait déjà tué un de nos opposants. Ils étaient 6 en tout, mais sa ne me faisait pas peur, les chats errants non-entrainés sont nuls au combat. Mais il faut dire que ceux-là ont du cran ! Mais il n'empêche que malgré le fait qu'on soit moins qu'eux, nous sommes supérieurs. De plus, 2 ont déjà filé dans les buissons, le premier est parti en nous voyant, et le deuxième car je l'ai fait fuir. Un d'eux se jeta sur moi et me plaqua au sol. Je me souvins alors la première technique que j'ai appris "la plus efficace" disait ma mère, car c'est elle qui, avant de mourir de sa maladie (j'avais à peine 5 lunes quand elle est décédé) m'a appris tout ce que je sais. Je sortis donc mes griffes et les planta dans le ventre de mon adversaire et m'en servit comme appui pour glisser et me déloger. Comme prévu, je lui trancha le ventre au passage. Puis je lui mordis à la patte. Soudain j'entendis un cri venant d'un coté. Surement une femelle.
"Non ! Arrêtez s'il vous plait ! C'est le père de mes petit !"
Puis une femelle au pelage blanc déboula avec deux petit dans la gueule. Je lâcha la patte du mâle et je lui cracha :
"Pars si tu ne veut pas faire de mal à ta compagne ! Et ne repose jamais tes pattes sur notre territoire !"
Le mâle fit demi-tour et partit avec sa compagne en courant. On tua le plupart des restants jusqu'à ce qu'il en reste 1. Mais nous ne l'avions pas vu, il s'était caché. C'était celui qui était parti le premier. Il me sauta dessus et me mordit très fort à la gorge et me coupa le respiration tel que je m'évanouis sur le coup.

Je laisse le corps retomber inerte.
c'est le chaos, autour de nous les solitaires ne font plus le poids et tombe un par un ,
la plupart fuient devant ce spectacle accablant, J'aperçois Pétale de Coquelicot qui se bat avec énergie
elle en épargne un père et compagnon il a encore de l'avenir.
Puis la clairière se vide peut a peut, au bout d'un dernier coup de griffe, je laisse le dernier s'enfuir
j'inspire un grand coup pour me contrôler tremblant j'avais peur de perdre le contrôle…
La dernière fois que c'était arrivé j'avais tuer de sang froid , je regarde le cadavre du solitaire ,avec moins de remords ,c'était lui ou moi et ça avait permis d'en faire fuir plusieurs, leurs évitant le même sort
Puis tout se passa en quelques secondes.
si vite que je n'avais pas put intervenir ,le solitaire sauta a découvert, sur Pétale de Coquelicot et lui porta une morsure a la gorge
Je reste un instant bouche bée puis reprenant mais esprit je grogne de rage et ne répond plus de rien j'attaque le lâche
une rage un flash rouge de plusieurs secondes puis plus rien je reprend mes esprit et découvre le corp de mon adversaire meurtrit et sanguinolent
Il avait eu ce qu'il méritait, j'accoure vers ma camarades étendu, paniqué
"Tu m'entends ? Pétale de Coquelicot ?"
je ne sais pas quoi faire peut être courir au camps chercher de l'aide ,mais la déplacer pourrait être dangereux

Dans mon rêve... Des bulles de sang. De la brume... Des étoiles... Ma vie qui défile... Et ma mère qui me chuchotais à l'oreille... "Ma chérie..... réveille toi !!" Puis la tête de Poitrail d’Épine s'afficha peu à peu... D'abord floue, puis bien nette. Il me disais :
""Tu m'entends ? Pétale de Coquelicot ?
-O-oui..."
Je me mit péniblement debout, je chancelais, mes yeux roulaient sur eux mêmes. Je n'était pas en bon état, il faisait nuit, j'étais fatiguée. Je me laissa finalement tomber et je réussis à articuler :
"Je suis fatiguée... Je dois dormir."
Si ma raison était présente à ce moment là, j'aurais su que ce n'était pas une bonne idée.

-O-oui..."
elle se remit debout avec difficulté mon cerveau carbure a cent a l'heure pour trouver une solution puis extenué Pétale de Coquelicot se laisse tomber
elle marmonne
"Je suis fatiguée… Je dois dormir."
j'accoure vers elle pour la relever et la soutient de l'épaule
"Non non ,croit moi ne dort pas c'est une très mauvaise idée tu m'entends ?..." c'est pas vrai elle semble ailleurs c'était elle endormit ?
pas le temps de réfléchir j'essai de porter ma camarade jusqu'aux camps.
mais ma patte blessé me fait boiter bas et mes griffures me brulent, après une pénible marche je finit par m'arrêter
le camps n'est pas encore en vue, je laisse Pétale de Coquelicot allonger et m'assoit a coté soupirant,
je ne sais que faire je ne peux pas allez chercher de l'aide, ma blessure me ralentit et laisser ma camarade seul dans cet état n'est franchement pas une bonne idée

Je ne m'était pas endormie. Mais dans touts les cas, j'avais du mal a bougé. Pourquoi ? Tout simplement parce que je suis très fatiguée et gravement blessé. Lorsque Poitrail d’Épines s'allongea, je marmonna :
"Ne te fatigue pas comme ça pour moi. Sa va aller, je vais me débrouiller."
Ma tête tournait à 1000 kilomètres à l'heure. Me souvenais-je des plantes que me montrais Hermès dans mon enfance ? Oui, de quelques unes seulement. Je pris sur moi et me mis debout. Ce n'est pas à un guerrier de venir en aide à son lieutenant, mais à son lieutenant de venir en aide à un guerrier. Je renifle les alentours... Une toile d'araignée ! J'ai de la chance. Je la récupère délicatement, puis je l'enroule autour de la patte ensanglantée de Poitrail d’Épines. Avant je la tâte, et découvre finalement une entorse ! Je lui dit :
"Fait plus attention, à l'avenir ! Ta patte est tordue ! Maintenant, tu vas devoir resté quelques temps dans la tanière des guerriers à rien faire !"
Observant mon état, je compris que la morale était largement valable également pour moi. Je cherche donc des graines de pavot... Clan des étoiles ! Il est avec moi ! J'en trouve très facilement. Je mange la moitié de ma trouvaille et donne l'autre à Poitrail d’Épines. Je lui propose de passer la nuit dans la forêt, pour profiter un peu de l'odeur de la forêt, car c'est possible qu'elle nous manque, durant notre repos d'une lune au camp !

Pétale de Coquelicot se redresse, elle semble allez un peut mieux, elle reprend ses esprit et me lance
"Ne te fatigue pas comme ça pour moi. Sa va aller, je vais me débrouiller."
j'hésite, mais elle est déjà debout a la recherche de quelques plantes et autres qui pourraient nous aider.
j'essai de la rejoindre mais abandonne, exténuer, elle revient peut après avec des toiles d'araignées elle me enroulent autour de ma patte blessée stoppant ainsi l'hémorragie
"merci..." répondis je dans un soupire de soulagement la douleur était déjà plus soutenable, puis elle m'avertie découvrant l'origine de ma blessure
"Fait plus attention, à l'avenir ! Ta patte est tordue ! Maintenant, tu vas devoir resté quelques temps dans la tanière des guerriers à rien faire !"
j'acquiesce grimaçant , ma camarade repart chercher quelques remèdes et revient avec des graines de pavot après les avoirs partagées ont se repose un instant.
avec nos blessures et l'effet des graines, je ne pense pas pouvoir allez bien loin, ma camarade semble du même avis ,et propose de passer la nuit dans la foret une dernière fois, avant qu'ont soient surement cloitré au camps pour nous rétablir.
on passe donc la nuit a la belle étoile, l'air frais change un peu de la tanière des guerriers.
je regarde le ciel pensant a tout et a rien, mes souvenirs ce bousculant dans ma tête, puis la fatigue accumulée nous rattrape et le sommeil vient.
ma nuit est sombre et sans rêves, loin des ennemis des amis.
puis au réveil on prend notre temps pour rentrer car c'est un peut comme une pause, une trêve avec la foret.


FIN (tu commences la "suite" ?)

Yep !
je vérouille le sujet.